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Mes citations inspirantes...

Les grands esprits ont parfois eu un tel sens de la formule qu'il serait dommage de ne pas se servir de leurs pensées pour éclairer nos vies.

 

La citation, quand elle vient d'une autorité incarnant une certaine idée de la réussite, il est difficile, voire impossible, de la remettre en question (très pratique face à nos ados rebelles).

 

Comme le dit Olivier Lockert dans son livre Métaphores :

 

"Les proverbes sont de courtes maximes tirées d'une longue expérience" (Miguel de Cervantès) ; c'est ainsi que "la sagesse des anciens et l'expérience des âges sont perpétuées par les citations" (Benjamin Disraeli). "Il est donc une bonne chose de lire des livres de citations, car les citations lorsqu'elles sont gravées dans la mémoire vous donnent de bonnes pensées" (Winston Churchill). D'ailleurs, ne dit-on pas que "les maximes des hommes décèlent leur coeur"? (Vauvenargues) [...]

 

On pourrait presque ne parler qu'en citations !

 

Les exemples ci-dessus résument ce chapitre : tellement de choses sont condensées dans les quelques mots d'un proverbe ou d'une citation qu'en illustrant votre communication de telles références, votre discours gagne en intensité. L'effet est un peu le même qu'une impression de déjà-vu ou de déjà-entendu. La personne reconnait en elle quelque chose qui est quasiment héréditaire, d'une sagesse populaire que l'on ne peut réfuter - ce que l'on appelle, par ailleurs, le "bon sens". Votre message s'en trouve charpenté et renforcé."

 

Les citations que je pose sur ce site ont été vérifiées et recoupées. A chaque fois que je l'ai su, j'ai cité le site et la source qui en étaient à l'origine. Si vous trouvez néanmoins des omissions et/ou des erreurs, merci de m'avertir!

Sur l'amour et l'amour-propre...

 

Cette magnifique citation - à méditer - est du poète Christian Bobin.

Si toutes ces considérations vous touchent, vous pouvez aller les approfondir sur les articles intitulés "confiance" et/ou "dépression" ou alors en allant voir les images inspirantes à ce sujet.

Ancre 2

Sur le bonheur...

Pour une illustration en conte de toutes ces citations, cliquez ici !
Ancre 3

Sur le changement...

Ancre 4

Sur l'éducation...

Si ces réflexions vous parlent, allez les approfondir sur les articles portant sur les "dys" et  "les problèmes d'apprentissage", ainsi que sur les images inspirantes sur ce même thème !
Ancre 5

Sur les épreuves, les échecs...

Si vous voulez poursuivre votre réflexion sur l'échec, cliquez ici!
Ancre 6

Sur la maladie, les soins...

Peut-être faudrait-il préciser que l'inverse est vraie aussi!
Ancre 7

Sur le manque d'imagination...

Ancre 8

Penser par soi-même...

Cette citation d'Agatha Christie peut prêter à sourire. Elle est malgré tout d'une grande justesse. Car en donnant trop facilement notre confiance à des personnes dont on n'a pas voulu voir les mensonges... on finit par adorer/admirer ces mêmes personnes qui pourtant nous méprisent. Ce petit conte, tiré du livre Le cercle des menteurs, le prouve bien. Je vous laisse juger (penser) par vous-même!
 
"Parmi les innombrables histoires qui ont été racontées au temps du communisme, il en est une qui offre une résonance inattendue. Elle montre Staline vieillissant qui, devant faire un choix parmi ses successeurs, appelle auprès de lui Boulganine et Malenkov. Il leur montre deux oiseaux vivants, dans une cage, et leur demande de les saisir. Boulganine, le premier, prend un oiseau dans sa main. Mais il a tellement peur, il est si préoccupé, si tendu, qu'il serre trop fort et tue l'oiseau.
Staline se montre mécontent, on peut le voir sur son visage.
Malenkov prend alors le second oiseau et, ne voulant pas commettre l'erreur de Boulganine, il garde la main molle et les doigts desserrés, si bien que l'oiseau s'envole et s'échappe.
Staline, de plus en plus mécontent, se fait apporter un troisième oiseau et dit aux deux :
— Regardez bien.
Il saisit délicatement l'oiseau par les pattes et, une par une, il lui arrache toutes ses plumes. Quand l'oiseau tout déplumé et tramblant, se tient tant bien que mal dans le creux de sa main, Staline dit aux deux autres :
— Vous voyez ? Et en plus, il éprouve un sentiment de gratitude, à cause de la chaleur ..."
Cette citation de Jung, à sa première lecture, peut susciter l'incompréhension. Elle est cependant selon moi incontournable. Car elle montre à quel point il est important de sonder son intériorité pour se connaître et devenir libre. A sa manière - mais dans le même esprit - l'écrivain Stéphane Mallarmé écrivait dans ses correspondances : "Il n'y a dans la connaissance de soi-même qu'une longue descente  aux enfers avant d'accéder à l'apothéose." Qu'est-ce que cela veut dire ? Pour devenir libre, sondez votre âme, allez scrutez les moindres parcelles de votre personnalité, y compris les plus sombres. C'est à ce prix, seulement, que vous les sublimerez et dépasserez pour devenir quelqu'un d'entier.
Ancre 9

 

 

Réussir...

Pour approfondir votre idée de la réussite et vous garantir qu'elle est à votre portée, cliquez ici!
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Sur le rêve...

A tout celles et ceux que le rêve intéresse, je vous encourage chaudement le site http://abcdreve.fr/ de Tristan Moir, le meilleur selon moi sur l'analyse des rêves.

 

Mais pourquoi se rappeler et analyser ses rêves ? Laissons parler le fondateur du site :

 

"Le rêve est une perception objective de la réalité, la seule qui puisse nous permettre de discerner le mensonge intrinsèque à la réalité subjective de l’état de veille : Culture, éducation, conditionne­ment, croyances, intox, projections, certitudes, peurs, culpabilité, mauvaise foi, convoitise, jalousie.
Le rêve est un langage authentique qui délivre des messages de l’inconscient vers le conscient. S’il est bien interprété, il nous reconnecte avec notre désir fondamental, notre point initial de cristallisation.

Il est bien évident que tous ces modèles se complètent et que le rêve peut assumer chacune de ces fonctions."

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Sur le rire...

A celles et ceux pensant que cette citation est exagérée, rappelez-vous que les vertus du rire sont prouvées... comme le montre le texte ci-dessous :

 

"Si l’on déconnecte les deux hémisphères cérébraux et si l’on présente un dessin humoristique à l’œil gauche (correspondant à l’hémisphère droit) tandis que l’œil droit (correspondant à l’hémisphère gauche) ne voit rien, le sujet rira. Mais si on lui demande pourquoi il rit, le cerveau gauche n’en sachant rien et ignorant la blague, il inventera une explication à son comportement et dira, par exemple: « Parce que la blouse de l’expérimentateur est blanche et que je trouve cette couleur hilarante. »

Le cerveau gauche invente donc une logique dans le comportement parce qu’il ne peut pas admettre d’avoir ri pour rien ou pour quelque chose qu’il ignore. Mieux : après la question, l’ensemble du cerveau sera convaincu que c’est à cause de la blouse blanche qu’il a ri et il oubliera le dessin humoristique présenté au cerveau droit. Durant le sommeil, le gauche laisse le droit tranquille. Celui-ci enchaîne dans son film intérieur: des personnages qui vont changer de visages durant le rêve, des lieux qui sont sens dessus dessous, des phrases délirantes, des coupures soudaines d’intrigues avec d’autres intrigues qui redémarrent, sans queue ni tête. Dès le réveil, cependant, le gauche reprend son règne et décrypte les souvenirs du rêve de manière à ce qu’ils s’intègrent à une histoire cohérente (avec unité de temps, de lieu, d’action) qui, au fur et à mesure que la journée va s’écouler, va devenir un souvenir de rêve très « logique ».

En fait, même en dehors du sommeil, nous sommes en permanence en état de perception d’informations incompréhensibles interprétées par notre hémisphère gauche. Cette tyrannie de l’hémisphère gauche est cependant un peu difficile à supporter. Certains s’enivrent ou se droguent pour échapper à l’implacable rationalité de leur demi-cerveau. En usant du prétexte de l’intoxication chimique des sens, l’hémisphère droit s’autorise alors à parler plus librement, délivré qu’il est de son interprète permanent.

L’entourage dira du protagoniste: il délire, il a des hallucinations, alors que celui-ci n’aura fait que se soulager d’une emprise.

Sans la moindre aide chimique, il suffirait de s’autoriser à admettre que le monde puisse être incompréhensible pour recevoir en direct les informations « non traitées » du cerveau droit.

Pour reprendre l’exemple cité plus haut, si nous parvenions à tolérer que notre hémisphère droit s’exprime librement, nous connaîtrions la première blague. Celle qui nous a réellement fait rire."  Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu  "La tyrannie du cerveau gauche" Bernard Werber"

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Special "Einstein...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voir le monde autrement

 

 

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